RESTAURATION
Carte blanche pour le CNM
Au départ vient le père, Armand Ancelin, qui prend en gestion avec un tiers la restauration du CNM, soit le restaurant O’Cercle et le self, ainsi que la pizzeria les mois d’été.
Il y a trois ans, Karine, la fille aînée, reprend le flambeau. Un challenge en période sanitaire et sur un site en travaux, puisque le restaurant n’a rouvert ses portes qu’en décembre 2021. Aujourd’hui avec 110 couverts en extérieur et 50 dans chacune des salles, cet emblème du Cercle, ouvert uniquement aux membres, fonctionne à plein volume, avec une carte traditionnelle orientée sur les produits de saison. Petit plus, elle s’ouvre aux nouveautés en fonction des désirs du chef.« Nous aimons bien l’idée de laisser carte blanche » développe Karine Ancelin. Le restaurant est entré dans une nouvelle ère grâce aux importants travaux qui y ont été réalisés.
« Le restaurant fonctionne ainsi, de plus en plus, avec les membres et les entreprises partenaires. Les évènements professionnels ne cessent de se développer. Nous en avons eu tous les soirs, en début d’été comme au mois de septembre ». Durant la saison, la pizzeria bat son plein, avec un fort afflux qui justifie une équipe de saisonniers d’une dizaine de personnes en plus des trois salariés permanents. Avec au compteur entre 250 et 300 couverts tous les soirs, l’activité est intense…
Pour répondre au mieux à la demande, Karine, ancienne directrice de la communication dans la culture, a été rejointe par Laure, sa soeur, elle aussi venue du monde de la com’. « C’est toujours mieux en famille : on se répartit les tâches, Laure est plutôt présente le midi et moi le soir. Nous sommes impliquées à 100%. Chacune est différente, mais animée d’une ambition commune : la volonté d’offrir un moment de plaisir à nos clients. Il faut avoir ce goût de l’accueil, sinon c’est compliqué ! »
Aujourd’hui, le duo compte faire évoluer le self. « Comme la pizzeria, c’est une vrai repère pour les membres. Il fonctionne seul mais nous réfléchissons à des pistes d’amélioration, dans la diversité des plats, la fluidité de la circulation etc.. La problématique consiste à rationnaliser les coûts tout en gardant un ticket moyen abordable. C’est notre défi de l’année ! »
